J’AI PERDU ALBERT (2018)

Albin Michel et Le Livre de Poche.

« Je suis la voyante la plus en vue du pays et, depuis hier midi, je ne vois plus rien. »

Pourquoi, après vingt-cinq ans de cohabitation, l’esprit qui hante Chloé l’a-t-il soudain quittée pour sauter dans la tête d’un garçon de café, Zac, apiculteur à la dérive qui ne croit en rien ? La situation est totalement invivable, pour elle comme pour lui, d’autant que cet esprit qui s’est mis à le bombarder d’informations capitales et pressantes n’est autre qu’Albert Einstein…

 

Didier van Cauwelaert ne cesse de nous surprendre.
Le Parisien Dimanche
Situations émouvantes et punchlines hilarantes !
Madame Figaro.
Cauwelaert n’a pas son pareil pour faire surgir la lumière d’éléments surnaturels disparates, qui éclatent aux yeux de tous en gerbes d’évidence. Du grand art !
La Provence
Entre comédie romantique, spiritualité et enjeux planétaires, il réinvente le triangle amoureux. À dévorer avec un enthousiasme pas du tout relatif !
Nice-Matin